29 - Concarneau - La ville close
Concarneau - L’entrée principale de la ville close.
~~La ville s'est constituée au Moyen Âge à partir de la ville close située dans l'estuaire du Moros. Cet abri naturel a permis le développement du septième port de pêche français en tonnage débarqué et d'importants chantiers navals.
~~Ancienne place forte de Bretagne, la Ville Close est un site exceptionnel fortifié entre les ports de pêche et de plaisance. Berceau de Concarneau, elle a traversé les siècles à l’abri des remparts en conservant un riche patrimoine architectural.
~~Classées Monument Historique depuis 1899.
~~Les armoiries situées au dessus de la principale porte de la ville close de Concarneau.
Concarneau - L'Ancre à l'entrée de la ville close.
~~L’ancre pèse près de deux tonnes. Repêchée en mer d'Irlande par un chalutier, elle appartenait au SS Great Eastern, navire anglais du XIXe siècle, elle garde les portes de la Ville-Close depuis plus de cinquante ans.
La ville close - Le cadran solaire.
~~C’est un cadran vertical, très légèrement déclinant de l'après-midi, c'est à dire qu'il n'est pas parfaitement orienté plein sud mais légèrement vers l'ouest.
Les lignes horaires sont tracées de 6H30 du matin à 6H du soir et numérotées en chiffres romains. Les lignes des demi-heures sont tracées, ainsi que celles des quarts d'heures entre 10H et 14H.
Une devise est écrite en latin: "Tempus fugit velut umbra" ainsi que sa traduction française: "Le temps passe comme l'ombre".
~~Le style est formé d'une tige métallique terminée par un disque percé d'un trou, c'est donc un point lumineux qui indique l'heure.
Le beffroi - Concarneau - ville close.
~~Le beffroi est lié à l'histoire de la mesure du temps. Pour connaître l'heure, les Concarnois profitaient des sirènes des usines et des cloches des églises, mais l'horloge devient progressivement un instrument indispensable.
~~Placé sur les fortifications à l'entrée de la Ville Close, le beffroi devient rapidement le symbole de la ville.
La Tour du Major - ville close - Concarneau
~~La tour du Major (XIVe – XVIIe) : La structure primitive de la tour du Major date du XIVe siècle, le chemisage du XVIIe siècle. Elle est principalement composée d’une salle basse servant de dépôt de munition notamment pour les barils de poudre et protégé par un couloir de guet. À l’étage se trouve le logis à feu du major.
~~Vers 1680, Vauban visite Concarneau et ordonne des travaux dans l'objectif d'améliorer le système de défense. Les toits des tours disparaissent permettant ainsi l'installation de l'artillerie sur des plates-formes. Ces travaux sont achevés en 1694, Vauban vient les inspecter le 7 juin de la même année.
~~Ceinte par des murailles en granit de 2,50 à 3 mètres d’épaisseur, de neuf tours et percées de trois portes, la Ville Close était autrefois protégée par une succession de ponts-dormants et de ponts-levis. A l’intérieur de la place forte, des maisons d’habitation occupent l’essentiel du parcellaire étroit. Pour cette raison, certaines sont construites avec une façade en pignon de granit.
De nombreuses, en pan-de-bois, furent détruites par des incendies ou pour aligner les façades.
Au XIXe siècle, l’armée rehausse le parapet, ajoute casernes et poudrière.
Tour du Gouverneur - Concarneau - Ville close
~~La tour du Gouverneur (vers 1477-XVIIe) : Cette partie des fortifications est sans doute ordonnée par le duc François II. Elle accueille le logis des capitaines puis du gouverneur de la cité. Vauban fait renforcer et chemiser la structure pour supporter une plateforme d’artillerie. Au début du XVIIIe siècle, un éperon est ajouté à la base de la tour.
La tour Neuve - Ville close - Concarneau
~~La tour Neuve (XVIe) : Aussi appelée tour du Moulin à Poudre, elle est édifiée pour protéger une section des remparts plus vulnérable à marée basse.
~~l'Hémérica, est un chalutier semi-industriel construit en 1957, que l'on peut visiter.
La tour du Port aux Chiens - Ville close - Concarneau
~~La tour du Port aux Chiens (XVIe) : appelée aussi tour de l'Essence.
Porte aux vins - Ville close - Concarneau
~~La tour de la Porte aux Vins : elle est datée du dernier quart du XVe siècle.
~~Seul accès facile de la mer à la ville, la Porte-aux-Vins date de la restructuration des remparts au XVe. Cette porte en ogive était destinée à recevoir des marchandises et notamment du vin en provenance de Bordeaux, origine de son nom.
~~Par crainte des guerres, une lourde porte de bois et une herse obstruaient le passage la nuit au XVIe. Au siècle suivant, elle fut murée pour éviter une attaque surprise ou parce que chaque grande marée y faisait entrer la mer. Elle fut remise en service après la Révolution et accueillait les sardiniers désarmés.
~~Aujourd'hui, elle donne accès au quai, construit il y a une soixantaine d'années et qui menait au platin de carénage.
Ville close - Concarneau
~~Le blason de la ville de Concarneau : Hermine chargé de trois haches d'armes de gueules posées en pal et rangées en fasce, les trois haches symbolisent les défenses de la ville close.
Porte du Passage - Ville close - Concarneau
~~La tour du Passage : Sans doute datée du XVe siècle, elle est située à un emplacement stratégique.
~~Percée dans la muraille, c'est la plus récente des trois. En effet, elle a été reculée en 1785 pour rendre la descente vers la mer moins dangereuse. Cette ouverture permettait aux paysans de Lanriec et de Trégunc d'accéder en ville pour vendre leurs produits. Cette issue était à l'époque indispensable car aucun pont n'existait sur le Moros.
Théâtre de la ville close - Concarneau
Église Saint-Guénolé - Ville close - Concarneau
~~L'ancienne église Saint-Guénolé aurait été construite au XIIe siècle. En ruine, elle est détruite en 1830 pour édifier une nouvelle église. Cette dernière est elle-même transformée en hôpital en 1937 alors que la nouvelle église paroissiale Église Saint-Cœur-de-Marie est construite hors les murs de la ville-close en 1912. L’hôpital est démoli dans les années 1980 et il ne reste que sa façade et son pignon-clocher.
Enceintes, courtines, ville close - Concarneau
~~Les remparts, dans leur forme contemporaine, ceinturent la ville close sur une longueur totale d’environs 980 mètres. La ville close s’étend d’est en ouest dans sa plus grande longueur sur 380 mètres et 220 dans sa plus grande largeur (nord-sud) et sur une soixante de mètres dans sa largeur minimum.
~~Les remparts constitués de granite local ont une épaisseur moyenne comprise entre 2.5 et 3 mètres. Leurs mâchicoulis datent du XVe siècle, sur la presque totalité de l’enceinte qui a été rehaussée de parapets de schiste percés de créneaux au XIXe siècle.
~~C'est une bien belle promenade le long d'un chemin flanqué de huit tours reliées entre elles par des courtines couronnée de mâchicoulis. Du haut de ces grandes murailles de granit on contemple une vue imprenable sur le port de pêche et de plaisance, la baie de Concarneau ou encore les quartiers sud du Cabellou et du Porzou.
Canon de la Vénus - Ville close - Concarneau
~~Les canons de la Vénus, sur leurs affûts, seront soumis à l'épreuve du temps. Deux seront installés en Ville-Close, trois au rond-point de Kerviniou.
Pour assurer la protection du bois (chêne et orme), trois couches d’huile de lin diluée avec du white-spirit ont été appliquées.
Statue de Duquesne à Concarneau, par Yves Hernot
~~Abraham Duquesne né en 1610 à Dieppe (Seine-Maritime) dans une famille huguenote d’armateurs, de corsaires et de marchands. Il est le fils d'Abraham Duquesne (v. 1570-1635), capitaine de vaisseau, calviniste et de son épouse, Marthe de Caux, tous deux originaires de Normandie.
Né roturier, il fut anobli par les titres de baron d'Indret en 1650 et marquis du Quesne en 1682 et protestant. Dès son plus jeune âge il suit les pas de son père. Il passe son enfance à Dieppe, qui possède alors la plus grande école d'hydrographie française.
~~En 1627, à l'âge de dix-sept ans, il entre dans la marine royale et sert à bord du Petit Saint-André, comme lieutenant de son père. Son père tombé malade, il le remplace et capture un navire marchand hollandais, le Berger, qu'il ramène à Dieppe et qui lui est adjugé par le Parlement de la ville. L'année suivante, il commande un vaisseau lors du siège de La Rochelle contre les armées réformées commandées par Jean Guiton, qui deviendra par la suite son beau-frère. S'il se bat dans le camp des armées royales, Duquesne reste cependant très attaché à sa religion.
La ville close - Concarneau
~~Entrée pour une balade dans la ville close, ville d’art et d’histoire !!
Fontaine au crocodile - La ville close - Concarneau
~~La fontaine de la place Saint-Guénolé. Cette fontaine en fonte et en granite est édifiée selon les plans de l'architecte Joseph Bigot entre 1855 et 1856.
Chapelle de l’Hôpital, Ville-Close à Concarneau
~~ La niche abrite une statue moderne de St Guénolé de 1954.
Porte de la chapelle de l’Hôpital, Ville-Close à Concarneau
~~Au 16e siècle Concarneau possède une chapelle-hôpital. Elle était dédiée à la Trinité. Ses 2 salles communes superposées pouvaient accueillir une dizaine d’hommes et autant de femmes malades.
Ces salles donnant directement dans la chapelle, les malades pouvaient de leur lits suivre les offices. L’établissement était destiné aux indigents et tenu par des religieuses.
Au début du 19e siècle l’hôpital est en ruine. Il n’en reste que le pignon à verrière donnant sur la rue Vauban. On peut y admirer le bel encadrement de porte à pilastres et fleuron. Au haut du pignon, on distingue encore les vestiges des blasons des seigneurs fondateurs.
~~A droite de la porte la niche abrite une statue moderne de St Guénolé de 1954.
Port de Concarneau
~~Le long des quais, l’identité maritime s’affirme : criée, chantiers de constructions navales, pontons accueillant des bateaux de toute nature y compris des voiliers de course le temps d’un départ de transat.
~~Ce port, peu profond, abrita toutefois jusqu'à 600 chaloupes pendant la saison de la sardine et, par la suite, les thoniers vinrent s'y ajouter. Des maisons bourgeoises sont édifiées le long des quais hors de la « Ville close ». Cette dernière devient, en cette période, un quartier populaire abritant matelots et sardinières. La Station de biologie marine de Concarneau est fondée par Victor Coste en 1859. Il s'agit de la plus ancienne station marine du monde.
~~À partir de 1851, les premières conserveries, remplaçant progressivement les fritures et les presses à sardines, apparaissent. Elles sont spécialisées dans la sardine et le thon. Elles feront la fortune de quelques négociants et permettront une élévation du niveau de vie de la population.
~~En 1877, la ville compte 20 usines dont l'usine Béziers et en 1900 30 usines employant 2 000 ouvrières (qui portent la coiffe penn sardin) sur une population de 7 000 habitants. ~~À partir de 1902, la disparition des grands bancs de sardines plonge Concarneau dans la misère.
Morlenn Express
~~Morlenn express met en œuvre 5 navires identiques, des "sisters ships", construits aux Chantiers Navals Gamelin à La Rochelle.
Les navires portent le nom d'îlots de la rade de Brest : Bindy, Tibidy, Treberon, Arun et Terenez.
~~"Morlenn" signifie "Rade" en Breton.
Léopard - (A 748)
~~Le Léopard (A 748) est un bâtiment-école de type Léopard de la Marine nationale française. Il sert à la formation à la conduite nautique des officiers et officiers-mariniers navigateurs de l'École navale, des écoles de la marine française, des administrations de l'État ou de marines étrangères.
Le Dumont d'Urville - (A 624)
~~Le Dumont d'Urville - (A 624), est un bâtiment de soutien et d'assistance outre-mer (ou BSAOM), anciennement appelé multimissions (ou B2M), de la classe d'Entrecasteaux appartenant à la Marine nationale française. Il sera basé à Fort-de-France en Martinique où il remplace le BATRAL Dumont d'Urville retiré du service actif en 2017.
~~Tout comme son prédécesseur, le navire porte le nom du navigateur français Jules Dumont d'Urville.
La Belle Poule - Concarneau
~~La Belle Poule est, avec son sister-ship l’Étoile, une goélette à hunier, appelée aussi goélette paimpolaise. Elle a été construite en 1932 à Fécamp. C'est une réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l'Islande, d'où également, l'appellation de "goélette islandaise".
Avec l’Étoile, elle participa à la Seconde Guerre mondiale dans les Forces navales françaises libres et les 2 goélettes arborent légitimement le pavillon de beaupré à la croix de Lorraine des FNFL (d'autres bâtiments de la marine nationale arborent aussi ce pavillon de beaupré, mais seulement parce qu'ils reprennent le nom d'un bâtiment ayant appartenu aux FNFL).
~~Toujours en service, elle sert actuellement à l'entraînement des futurs chefs du quart passerelle de la Marine nationale et participe souvent aux rassemblements de gréements traditionnels, notamment à l'Armada de Rouen.
~~Un timbre a même été émis à l'occasion de sa participation à l'Armada du siècle en 1999.
La grande Hermine - Concarneau
~~La grande Hermine - Ce navire fut mis sur cale en 1931, le lancement eut lieu le 4 juillet 1932 du chantier naval Fidèle à Marseille où il fut construit sur les plans de Léon Sebille, architecte naval. Il portait alors le nom de La route est belle, une chanson du répertoire du chanteur André Baugé, propriétaire de ce voilier.
~~En 1957, il devint Ménestrel à l'occasion d'un changement de propriétaire.
~~En 1959 il est racheté par l'École nationale de la Marine marchande de Saint-Malo et rebaptisé La Grande Hermine, du nom de plusieurs navires de Jacques Cartier.
La Grande Hermine est ensuite achetée en 1963 par la Marine nationale en tant que navire-école et rattachée directement au Centre d'instruction naval de Brest où elle est basée.
En 2000, elle rejoint les trois autres voiliers de l'École navale.
~~Elle sert, comme la Belle Poule, l’Étoile et le Mutin à la formation des élèves du Groupe des écoles du Lanvéoc-Poulmic.
La Nébuleuse - Concarneau
~~La Nébuleuse est un ancien dundee thonier construit au chantier naval Le Hir & Péron de Camaret. Il sert désormais de voilier de croisière au service des entreprises et des particuliers au départ des ports de Lézardrieux et Paimpol avec l’Enez Koalen.
Ce voilier de pêche (dundee thonier) a été conçu pour la pêche au large du thon blanc.
La Recouvrance - Concarneau
~~La Recouvrance est une goélette à hunier, réplique des goélettes de type « Iris », un modèle dessiné par l'architecte naval Hubert en 1817. Ces bâtiments militaires étaient destinés au transport de plis urgents, à la surveillance du trafic marchand et à la répression de la traite des esclaves sur les côtes d'Afrique et aux Antilles. Elles portaient six caronades de 24 et leur équipage était composé de 50 à 60 hommes.
La construction de La Recouvrance, a débuté en 1990, elle a été présentée au public à l'occasion de Brest 1992.
~~La Recouvrance est le bateau ambassadeur et la propriété de la ville de Brest.
Son nom provient du quartier de Brest du même nom. Dans la paroisse de Sainte-Catherine (l'ancien nom de Recouvrance), on honorait une statue de vierge, Notre-Dame de Recouvrance qui a donné son nom au quartier.
~~Sa figure de proue représente la tête d'une femme.
Le Corentin - Concarneau
~~Le Corentin est un lougre, c'est-à-dire un trois-mâts gréé de voiles au tiers. Reconstitution d'un voilier de cabotage du XIXe siècle à cul carré et coque en bois, il a été construit d'après les plans de l’Aimable Irma, chasse-marée caboteur de 1840.
Il appartient à l'association Le Lougre de l'Odet de Quimper.
Il a obtenu le label BIP en 2007 de la Fondation du patrimoine maritime et fluvial.
La construction du Corentin se déroule de juin 1990 à juin 1991 au chantier naval de Saint-Guénolé à Quimper.
~~ Il nécessitera près de 50 tonnes de chêne provenant des forêts françaises. La quille de 14 m est posée le 23 juin 1990. Le pont est fait en sapin et les mâts en pin d'Oregon (le grand mât mesure 19,95 m).
Le lancement du Corentin eut lieu le 19 juin 1991, à la cale du Styvel, proche du chantier.
Son parrain est Éric Tabarly.
~~En avril 1992, il est remorqué jusqu'à Bénodet pour recevoir son gréement (mâts et voiles) et ses dernières finitions.
~~Son voyage inaugural se déroule les 27 et 28 juin en effectuant sa première remontée de la rivière Odet à Quimper et revenant à Bénodet en transportant du courrier avec son parrain à bord.
~~Il propose des sorties en mer pour 27 passagers et des croisières de plusieurs jours pour 9 passagers à destination des différentes îles du Ponant, îles Scilly et aussi vers le golfe de Gascogne pour la pêche traditionnelle au thon.
Le Mutin - Concarneau
~~Le Mutin est un cotre de la Marine nationale française servant de bateau-école.
Il est la plus ancienne unité navigante de la Marine nationale. Il a été lancé le 18 mars 1927 aux Sables-d'Olonne. C'est un dundée construit en 1926 sur le modèle des thoniers à voile par les Chantiers Florimond-Guignardeau.
De 1927 à 1964, il a servi à la formation des pilotes de la Flotte à Saint-Servan.
~~Lors de la Seconde Guerre mondiale le Mutin opère clandestinement pour le compte du Special Operations Executive britannique sur les côtes de la Manche (Helford, Cornouailles), de l'Atlantique et même en Méditerranée.
~~Dans la nuit du 18 au 19 juin 1940, les Allemands bombardèrent l'École navale et le Mutin appareilla pour Ouessant puis Plymouth. Il y fut remarqué par un officier du Special Operations Executive et réquisitionné pour intégrer une flottille de bateaux-espions et servir à des missions d'infiltration et d'extraction d'agents britanniques, de pilotes et de résistants. Maquillé en thonier et armé d'un canon antiaérien de 20 mm récupéré sur un Messerschmitt Bf 109, il a même reçu des thons factices fabriqués par le Muséum de Londres et remplis de plastic.
En décembre 1942, il fut envoyé en Méditerranée et utilisé comme base de repli pour les agents opérant en Italie et en Yougoslavie. Le Mutin a été rendu à la marine française en mars 1945.
~~Depuis 1964, il est affecté à l'École navale. Il effectue des missions d'instruction (de septembre à avril) et de représentation (d'avril à septembre) sur la façade atlantique française ainsi que lors des Tall Ship.
~~Il navigue depuis l’Espagne jusqu'à la Norvège.
Le Santa-Maria - Concarneau
~~Le Santa-Maria propose des promenades et de la pêche en mer.
Le Marche-Avec - Concarneau
~~Le Marche-Avec est un cotre sardinier construit durant l'année 1991. C'est une réplique construit sur les plans du Gaby, ancien cotre-sardinier de 1924, construit à Beuzec-Conq. Elle a été réalisée dans le cadre du concours « Bateaux du patrimoine des côtes de France » organisé par le magazine Chasse-Marée à l'occasion du rassemblement de gréements traditionnels des fêtes maritimes de Brest de 1992.
~~La municipalité utilise le bateau dans le cadre des programmes d'animation d'été pour les jeunes concarnois de 14 à 17 ans. L'association gestionnaire propose des sorties à la journée mais aussi de courtes croisières lors des rassemblements locaux de gréements traditionnels et fêtes maritimes.
~~Le Marche-Avec participe, chaque année, au Festival des Filets bleus grande fête traditionnelle bretonne de Concarneau.
Le P'tit bac - Concarneau
~~Le P’tit bac fait la navette toute l'année entre le quartier du passage et la Ville Close.
~~Autrefois - Concarneau
Dessins réalisés avec Photoshop.